- Vestiaires souvent perçus comme sales : 54 % des plaintes concernent la propreté des cabines et douches (ANSES).
- Prolifération de bactéries : Escherichia coli et Pseudomonas aeruginosa se développent dans les zones humides, avec un risque d’infections cutanées ou digestives.
- Odeurs désagréables dues à un nettoyage insuffisant, notamment pendant les périodes de forte affluence.
- Manque de disponibilité du personnel pour nettoyer en continu, surtout aux heures de pointe.
- Entretien manuel trop contraignant : Le personnel est souvent débordé et ne peut pas assurer un passage régulier dans les zones critiques.

- Hygiène constante : réduction visible des salissures et des risques bactériens.
- Amélioration de l’expérience client : des vestiaires perçus comme propres et entretenus en continu.
- Efficacité opérationnelle : moins de charge de travail pour le personnel d’entretien.
- Valorisation de l’image : un établissement perçu comme professionnel et bien entretenu.
- Conformité réglementaire : respect des normes sanitaires en vigueur, même pendant les pics d’affluence.